Le festival des bambins
Réservé aux enfants, le « festival des bambins » a été animé par les danseurs du Burundi, Lituanie, Bolivie et Tahiti. Tout un programme de jeux, entrecoupés de danses et chansons leur a été proposé : apprendre à taper sur les tambours et tam-tam, à confectionner des colliers de fleurs et coquillages, spécialité tahitienne, ou encore découvrir « l’awalé » un jeu expliqué par les danseurs du Burundi. Le tatouage cher aux Tahitiens a bien entendu été le moment fort de cet après-midi. Les enfants sont repartis avec des tatouages éphémères. 40 bambins ont participé à ce mini-festival dont l’organisation a été confiée au personnel du Clae-Francas.

Disponibilité et professionnalisme
Pendant le festival, les agents des services techniques de la Ville assurent, dans l’ombre, les tâches quotidiennes et obligatoires pour le bon fonctionnement général. Installation des chapiteaux et décors lumineux, nettoyage des places et rues, ramassage quotidien des poubelles sur tous les sites de restauration et d’hébergement : la liste est longue, sans omettre les potentiels dysfonctionnements électriques ou pannes de dernière minute. Les employés de ce service, dirigé par Emanuel Lopes, font preuve d’une disponibilité permanente. Cette année, ils n’ont pas rencontré de difficulté particulière., « Nous avons la chance de disposer d’un matériel performant et la qualification du personnel est un atout important », affirme le responsable.
Leçon de danse
Lituaniens et Tahitiens n’ont pas hésité à donner quelques leçons de danses au public. Spectatrices et spectateurs pris au hasard se sont retrouvés sur la piste. Timides ou à l’aise, ils ont suivi les pas de leur cavalière et cavalier sur des rythmes spécifiques. L’apprentissage du fameux déhanché tahitien a fait un tabac. Sera-t-il reproduit en famille ?