Est républicain 7 Août (Le petit festivalier illustré)
Plus de peur que de mal
Mercredi en fin de soirée un musicien de la délégation géorgienne a été victime d’un malaise cardiaque. Aussitôt sur les lieux, les pompiers de Port-sur-Saône ont dispensé les premiers soins avant qu’un hélicoptère le transporte à l’hôpital Minjoz de Besançon. Le président Mariot lui a rendu visite hier. « Il va très bien. Pas de soucis. Il devrait être rapatrié en fin de semaine ».
Est républicain 8 Août (Le petit festivalier illustré)
Les Gardiennet, une famille de bénévoles
Depuis plusieurs années la famille Gardiennet est présente dans différents services lors du festival. Alain, le père, est l’un des responsables de la buvette. Alice, la plus jeune des filles est au service restauration et Charlotte fait office de traductrice en espagnol. La jeune fille qui entrera en Terminale à la rentrée étudie l’espagnol depuis la Quatrième. « J’ai commencé au festival il y a 6 ans. Les trois premières années j’étais au service des poubelles ! ». Elle a ensuite accompagné le Mexique en 2014 et cette année la Bolivie. « J’ai gardé des contacts avec les Mexicains et les Argentins… le festival est une bonne expérience ».
Le festival crée des liens économiques
Est républicain 6 Août 2015
PORT-SUR-SAÔNE : TOUS LES FOLKLORES DU MONDE
En fin de journée, paré d’un beau bleu ensoleillé, le ciel s’était débarrassé des nuages noirs du début d’après-midi. « Le Dieu météo du festival nous a écoutés », lance un responsable de cette 26e édition du festival international de folklore à Port-sur-Saône. Le traditionnel défilé parade d’ouverture pouvait commencer avec e, tête, la Lyre portusienne, Enfants du monde, Miss Franche Comté et Haute-Saône et les élus communautaires en tête.
Est républicain 10 Août (Le petit festivalier illustré)
Le festival des bambins
Réservé aux enfants, le « festival des bambins » a été animé par les danseurs du Burundi, Lituanie, Bolivie et Tahiti. Tout un programme de jeux, entrecoupés de danses et chansons leur a été proposé : apprendre à taper sur les tambours et tam-tam, à confectionner des colliers de fleurs et coquillages, spécialité tahitienne, ou encore découvrir « l’awalé » un jeu expliqué par les danseurs du Burundi. Le tatouage cher aux Tahitiens a bien entendu été le moment fort de cet après-midi. Les enfants sont repartis avec des tatouages éphémères. 40 bambins ont participé à ce mini-festival dont l’organisation a été confiée au personnel du Clae-Francas.
Disponibilité et professionnalisme
Pendant le festival, les agents des services techniques de la Ville assurent, dans l’ombre, les tâches quotidiennes et obligatoires pour le bon fonctionnement général. Installation des chapiteaux et décors lumineux, nettoyage des places et rues, ramassage quotidien des poubelles sur tous les sites de restauration et d’hébergement : la liste est longue, sans omettre les potentiels dysfonctionnements électriques ou pannes de dernière minute. Les employés de ce service, dirigé par Emanuel Lopes, font preuve d’une disponibilité permanente. Cette année, ils n’ont pas rencontré de difficulté particulière., « Nous avons la chance de disposer d’un matériel performant et la qualification du personnel est un atout important », affirme le responsable.
Leçon de danse
Lituaniens et Tahitiens n’ont pas hésité à donner quelques leçons de danses au public. Spectatrices et spectateurs pris au hasard se sont retrouvés sur la piste. Timides ou à l’aise, ils ont suivi les pas de leur cavalière et cavalier sur des rythmes spécifiques. L’apprentissage du fameux déhanché tahitien a fait un tabac. Sera-t-il reproduit en famille ?